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Triste journée pour moi.

Commençons cet article par une petite citation de ce cher Damien Saez pour ne pas changer.
"Ami prend ma lanterne car j’ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti,
Elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
Elle a fait des fertiles des averses,
L’aride.
Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison
A ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union
Pensent oublier un peu qu’on est triste ici-bas,
Et qu’ici solitude
Est le dernier repas."


Cette journée est celle des amoureux (bien que devenue purement quelque chose de commerciale). Mais il est tellement bon  de passer ce genre de journée avec l'être aimé.
La vie a décidé que je ne pourrai pas le faire, comme je ne pourrai sans doute plus jamais le faire. Cette vie qui a tendance a toujours s'acharner sur les mêmes. Ne leur offrent que des moments de bonheurs dans des laps de temps très court.  Ces mêmes moments ou vous avez l'impression d'être libéré de vos chaines par cet être si sublime, cet être dont vous ne voudriez pas lâcher la main. Ces moments ou vous vous sentez enfin vivre, enfin aimé, enfin compris, ou chaque moments parait si court... Puis cet être qui décide que vous ne représentez pas tout cela pour lui... Et décide de vous enchaîné à nouveau, cet être qui décide de vous laisser seul sans lui... Mais sans pour autant partir car chaque endroit, chaque objet qui se trouve chez vous vous le rappelle, vous rappelle  justement à quels points vous étiez heureux avec.
Il y a des drogues qui font mal, vous anéantisse, vous ruine psychologiquement et physiquement. Mais toi tu étais ma drogue, Il a fallu une ligne de toi pour m'intriguer, une image de toi pour être troublé, un baisé de toi pour être envouté et  pour devenir dépendant. Mais cette drogue était si bonne, elle n'avez aucun effet nocif, elle rendait  juste une vie si fade et ou il manquait  me manquait quelque chose.... toi.... intéressante à vivre et passionnante.
Tu me manques....

Juste un passage d'une chanson

Mes sciences qui ressemblent qu'à l'ombre du doute
Le bien qui fait du mal quand le mal vous envoûte
Quand au coeur de l'iris c'est le temps des moussons
Qui vient noyer le blé juste avant la moisson

Dans les travers du temps, je sais, je t'ai perdue
Et tu l'as dit cent fois, tu ne reviendras plus
Alors je peux partir comme un loup solitaire
Qui, blessé, s'en ira mourir auprès d'un hêtre

Moi, j'aurais tant voulu que cet être soit toi
Tant voulu avec toi être un autre que moi
Au profond de ton ventre faire plus belle la terre
Oublier qui je suis et fermer les paupières


Extrait de "que tout est noir" de Damien Saez.  Tout à l'heure ou demain je clôturerai mon blog avec un texte de moi....  Mais avant cela je dois le terminer, car il manque un mot qui est si dur à écrire....